- EQUILIBRE DES TEMPS
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- Garantir et protéger un équilibre des temps (temps “Travail” et temps “À soi”)
- Droit à la déconnexion : fixer des horaires à la maille de l’entreprise en dehors desquels il n’y a aucune obligation de répondre aux sollicitations (mail, sms, appel, etc.) (hors astreinte).
2. TEMPS DE TRAVAIL
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- Évoluer vers la possibilité d’avoir une semaine de 4 jours (à 32h ou à 35h) sans réduction de salaire, organisée autour de l’activité (même si cela signifie que le service est fermé un jour par semaine).
- Adapter au fil de l’eau les ressources afin d’être en permanence en adéquation avec la charge de travail.
- Garantir à chaque salarié.e, et sans pression, le droit de choisir parmi toutes les possibilités de déclinaison des dispositions des accords en vigueur liées au temps de travail (32h/semaine, collectif ou individuel, 35h sur 4 jours/semaine, 35h pluri-hebdo, 3 niveaux de Forfait jours, souplesse horaire et télétravail)
- Recourir aux heures supplémentaires à bon escient, consenties par les salarié.es et de l’employeur
- Adapter le temps de travail en fin de carrière (ex : diminution progressive du temps de travail sur plusieurs années)
- Dans le cadre de l’utilisation du CET, préserver les absences fugaces
- Mettre fin au présentéisme (être présent.e même s’il n’y en a pas besoin) et au présentéisme numérique (être connecté.e et le faire savoir quelque soit l’activité)
3. LIEUX DE TRAVAIL
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- Télétravail : travailler avec la médecine du travail sur les risques de TMS
- Limiter la densification des lieux de travail (ex : Window, Palatin, Jonage)
- Proposer des espaces de travail plus adaptés à la concentration (pas uniquement des plateaux ou grands espaces)
- La CGT s’oppose catégoriquement au « Flex office », demande de réexaminer les nombreux projets immobiliers en cours, notamment Marseille, Lille et Toulouse à venir, afin d’optimiser les surfaces et donc tendre vers des bureaux partagés au lieu des open space.
4. SANTE
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- Donner plus de moyens à la médecine du travail (dont l’utilisation réelle du tiers temps sur le terrain), par exemple en ajoutant des médecins et infirmier.es
- Garantir l’autonomie des services de santé au travail